BLOG D'UN VIERZONNAIS





dimanche 18 mai 2014

EN VOILA DES IDEES, EN VOILA POUR VIERZON !



A force de me marcher sur les pieds, on finit par récolter ce que l’on sème !

Vierzonitude, alias le journaliste du Berry Républicain Rémy BEURION, très prolixe de sa plume, avec ou sans faute d’orthographe ou de grammaire, après s’être lâché contre moi et le maire de Vierzon Nicolas SANSU pendant la dernière campagne municipale, sur le fond ou sur la forme, caressant sa candidate dans le sens du poil, après avoir érigé son blog comme quoi “la critique est un devoir”, sous le couvert d’un “humour” qui n’appartient qu’à lui et qu’il confond avec “méchanceté”, continue son travail de sape ! C’est son droit. Mais, ne lui en déplaise, je laisse tomber à son encontre mon attitude politiquement correcte. C’est pourquoi je le cite nominativement ce jour, qu’il utilise ou non son nom, Vierzonitude ou ses pseudonymes comme Bezant ou d’autres.

Bien entendu, il dira que je réagis sans humour, avec la colère, avec ce qui lui plait. Sa réponse sera conforme à son attitude à mon encontre : critiquons, moquons, détruisons, … Il y a peu, sous couvert d’un nouvel avatar, il me faisait l’allié de Nicolas SANSU. C’est bien mal me connaître. Si je suis critique vis-à-vis du maire, moi, je lui reconnais quand même quelques bonnes initiatives. Comme le guichet unique. Comme la zone d’activité de la rocade nord de Vierzon, qu’elle soit de son fait ou de celle de son ancien mentor Jean-Claude SANDRIER.
Par contre, je me suis toujours employé à proposer au moins une solution à chaque problème que je soulève. Le dernier en date était le départ de nos diplômés ou futurs diplômés vierzonnais avec des cours par visioconférence. Si Rémy BEURION, pardon : “Vierzonitude”, avait agit en vrai critique, il aurait discuté de mon projet sur le comment. Non : il préfère critiquer parce que “c’est un devoir”. Ce n’est pas ma manière de faire.
Avant, je faisais comme lui, je faisais ce que d’aucun appelle “refaire le monde”, ce que moi j’appelle de la “révolution de comptoir”. Un jour, sous l’influence d’une école comme la Jeune Chambre Economique, de lectures diverses et d’échanges, j’ai choisi de passer du rang de spectateur à celui d’acteur, passant peu de temps à celui de critique. C’est, sur cette idée, que je suis devenu chef d’entreprise. C’est, sur cette idée, que je suis devenu candidat, d’abord aux cantonales, ensuite aux municipales. Et j’ai bien l’intention de continuer, loin des compromis et autres mélanges où je perdrai mon âme et où se perdront mes idées, ne lui en déplaise. Comme à ses amis et ceux qu’il croit en être ou qu’ils croient en être (dans les deux sens, volontairement).

Un proverbe arabe s’applique bien à son attitude : “Les chiens aboient, la caravane passe”. Qu’il continue à aboyer.

Au passage et pour conclure, si l’idée lui en vient (enfin une !) de porter plainte contre moi, il sait où le faire.

2 commentaires:

  1. Je suis bien d'accord avec vous, ce monsieur, se prétendant citoyen, prônant l'abstention, vivant dans la rancune et la haine du vierzonnais sous couvert de sauver Vierzon; ne vaut pas l'encre qu'il déverse avec colère. Il devrai se présenter non pas comme Charlie (qu'il sali) mais comme RB le haineux qui lui va beaucoup mieux

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  2. Merci pour ce retour d'expérience. Je commençais à croire que j'étais seul à penser ce Monsieur Vierzonitude uniquement programmer pour critiquer et non pas juste faire état de cause des faits. Ce blog aurait pu être quelque chose d'intéressant : un lieu d'échanges, d'idées, de partage de bonnes adresses et d'activités qui mettraient un peu plus Vierzon en valeur voir même la source d'action qui pourrait peut être aboutir sur des bonnes actions pour Vierzon. Alors que là il ne s'agit que de critique et surtout de ne pas faire avancer les choses. Bref on rame à contre courant

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