BLOG D'UN VIERZONNAIS





dimanche 29 novembre 2015

LA VALSE DES PANTINS 3 : VOTER OU NE PAS VOTER ? TELLE EST LA QUESTION...

On vote dans une semaine pour élire nos représentants d’une énième couche du mille-feuille administratif français. Plus exactement, nous allons élire les bénéficiaires d’une rente à durée déterminée pour quelques privilégiés : ceux que leurs partis ont décidés.
 
Je n’aurais jamais cru écrire ce texte il n’y a ne serait-ce que quelques mois mais les réponses que je trouve à mes questions sont tellement désabusées ou réalistes ou les deux que je ne peux que le faire aujourd’hui.
 
Les idées tout d’abord. Bien que je n’ai reçu qu’une seule profession de foi, qui tient plus du tract publicitaire que d’un document sérieux, je n’ai trouvé que beaucoup de bonnes idées dans toutes les listes. Mais, soit nos candidats à rente vivent dans le monde des Bisounours, soit ils nous prennent pour des... Je penche plutôt pour la seconde solution. Aucun ne dit comment il va financer ces “bonnes idées”. D’un côté, l’Etat tente de faire des économies pour relancer l’emploi, d’un autre les candidats à rente nous disent comment on va dépenser ce qu’on n’a pas. Moi qui ne les prends pas pour ce pour quoi ils nous prennent (j’adore ce type de phrase alambiquée à souhait), je pense plutôt qu’ils ne feront pas mieux, ou à peine, ou pire, que l’équipe sortante candidate à son renouvellement. Ah ! Si ! J’oubliais les solutions des partis extrêmes (extrême gauche, communistes et nationalistes) : ils ont la solution, plus exactement leurs solutions. Des boucs émissaires.

dimanche 15 novembre 2015

ÊTRE FRANÇAIS, ÊTRE HUMAIN...

Je n'ai pas de mot pour évoquer de ce je ressens, plus de pleurs à verser... Pourtant... Mes sentiments passent de la peine à la révolte, à l'envie d'en découdre. Dans l'immédiat, je ne peux que vomir sur des lâches qui ne savent que s'en prendre qu'à des gens désarmés, en Syrie, en Irak, en France. Qu'à des mécréants qui ne savent pas lire le Coran. Je ne parle pas des autres livres "saints", Bible, Torah, Droits de l'Homme ou Constitution. Puissent-ils périr dans la douleur, rejetés de tous, et brûler en Enfer...
Je suis français, je reste français et je suis fier d'être français.

samedi 7 novembre 2015

COMING OUT

Ça y est ! Je l’ai fait ! J’ai fait mon “coming out” : je suis un libertaire tendance cyniquo-dardiste. Je quitte toute appartenance à un parti.
 
Socrate
Un peu d’histoire personnelle. Je me suis toujours intéressé à l’Histoire. Donc à la politique. Et comme j’ai toujours fait mienne cette maxime de SOCRATE, qui dit “Si tu ne t’occupes pas des affaires de la Cité (NDLA : donc de la politique), d’autres, moins vertueux (NDLA : et ils sont légion), s’en occuperont”, je me suis impliqué dans la conduite des affaires publiques. Au départ aux côtés de Samir BAHLIS dans ses candidatures aux Départementales (appelées à l’époque Cantonales) et à la députation. Pour les municipales, pour des raisons que je ne veux pas évoquer aujourd’hui tant elles me choquent encore, il choisira de rejoindre, une nouvelle fois, Jean ROUSSEAU, rejoignant ceux (et ce) qu’il dénonçait auparavant. Orphelin, j’ai rejoins Joël HALLIER jusqu’à son départ en retraite (au moins, il a fait ce qu’il avait dit) et me suis retrouvé numéro 3 de Labelville. Ce qui me permettra de rentrer au Conseil Municipal de SANSU I. Dans l’opposition. Une bonne école politique et... de vie. J’y rencontrerai des gens bien, qui ont des convictions. Mais j’y ai surtout rencontré le contraire ! Ce qui me conduira, avec d’autres, à commencer avec Frédérique GODARD, à me présenter aux dernières élections municipales. Pour le résultat que tous connaissent. Mais nul n’est prophète dans son pays, dit le proverbe.

mercredi 4 novembre 2015

PÈLERINNAGE ONANISTE

Les articles que je classe dans la série “Un peu de moi” n’ont aucune connotation politique. Ils appartiennent tout simplement à aucune autre catégorie de ce blog ou d’un autre que j’ai pu animer ou anime encore et à aucun projet. Ou tout au moins celui-ci n’est-il pas encore né. C’est juste un besoin de témoigner. D’écrire.
 

Saint-Chef
Bon, j’pourrai t’en citer des tas mais là, maintenant, j’ai choisi de n’t’en divulguer qu’un. De te faire part d’une séance d’onanisme culturel (si tu n’sais pas c’que ça veut dire, t’as qu’à chercher dans le dictionnaire, tu sais, le gros livre que tu mets en évidence dans c’qu’y t’sert de bibliothèque pour masquer tes bouteilles de pastis à ta bourgeoise) : j’ai été en pèlerinage... Oh ! Pas à Lourdes, à Fatima des planchers ou à Sainte-Thérèse-de-tes-yeux ! Non : à Saint-Chef.

dimanche 1 novembre 2015

TROIS MOTIONS DE SOLIDARITÉ ?

Une fois n’est pas coutume mais le maire de Vierzon va pouvoir se lâcher : lors du prochain conseil municipal, il va proposer, même s’il n’est pas à l’initiative de toutes les trois, des “motions de solidarité”. En clair, des votes politiques qui vont lui permettre (mais pas seulement à lui) de disserter sur la politique régionale (NDLA : il est candidat inéligible sauf vote stalinien ou coréen du nord aux élections régionales), nationale et internationale. Une discussion de Café du Commerce institutionnalisée ! Pourquoi pas, si ça l’amuse. Sauf que sa prétendue opposition de centre gauche, tendance “radicale bourgeoisie” s’engouffre avec candeur dans ce piège inutile. Sauf à s’y complaire mais je n’en vois aucun qui soit capable d’y répondre, à part, peut-être, le professeur d’histoire François TESSIER ou papy ROUSSEAU. Et encore...
Faire parler les morts pallie l'indigence
de sa propre pensée
J’étaye mes propos de deux constats. Le premier est constitué des difficultés de Nicolas SANSU à aborder des sujets quotidiens lors des conseils de quartier. Les poubelles du voisin, les nids de poule, les incivilités, ce qui fait notre quotidien, Nicolas SANSU n’aime pas, il n’y est pas à son aise. Quand il peut, il délègue cette tâche à autrui, se réservant l’introduction. Malheureusement pour lui, il ne peut conserver cette dernière sans aborder le développement et la conclusion. Autre constat : la référence cocasse de Nadia ESSAYAN à Max ALBIZZATI. Faire parler les morts, les citant ou leur prêtant une pensée, est une technique politique (NDLA : pas seulement politique) visant à pallier l’indigence de la propre pensée de celui qui cite l’absent. La référence est d’autant plus intéressante que Nadia ESSAYAN s’approprie une idée d’un homme qu’elle a trahit, ne serait-ce qu’en participant à la disparition de l’association ARC EN CIEL. J’avais déjà dénoncé cette hypocrisie lors de l’hommage fait à Max ALBIZZATI lors de son enterrement.