BLOG D'UN VIERZONNAIS





lundi 2 décembre 2013

FAITES CE QUE JE DIS, PAS CE QUE JE FAIS

Que voilà une phrase que j’ai souvent entendue et qui concerne les politiques de tout bord ! J’en veux pour preuve la critique mainte fois répétée, surtout d’élus, de parlementaires de gauche, comme quoi les entreprises usent et abusent des contrats précaires. Sauf qu’ils oublient que l’Etat et les collectivités locales, surtout les hôpitaux et La Poste, en font tout autant, voire plus encore ! Avec une subtilité de taille : pour lui-même, l’Etat n’accorde pas à ses travailleurs précaires l’indemnité de fin de contrat, égale à 10% du salaire perçu en intérim (loi 83-634 du 13 juillet 1983 et décrets 86-83, 91-155 et 88-145). De qui se moque-t-on ? Avant de faire la morale aux entreprises, il serait bon que l’Etat balaie devant sa porte. Que nos élus parlementaires s’emparent de ce sujet afin de faire appliquer ce principe d’égalité : un salarié précaire de la fonction publique doit avoir les mêmes droits qu’un salarié précaire du privé. Après, on pourra discuter des abus.

1 commentaire:

  1. Jean-François FALDA3 décembre 2013 à 18:39

    "Tout à fait Thierry" heu excuses moi je m'avais trompé...
    tout à fait Stéphane Mais tout d'abord une mise au point s'impose...?
    Le terme de communisme (du Latin communis – commun, universel) désigne, dans son sens théorique initial, l'idéal d'une société sans classes et d'une organisation sociale sans État ni monnaie, où la propriété privée serait abolie, au profit de la communauté des biens matériels. Plus largement, il recouvre, au sens contemporain du mot, l'ensemble des mouvances politiques ayant proclamé vouloir réaliser cette société égalitaire, y compris, sur le plan concret, les régimes communistes dictatoriaux ou totalitaires, qui se sont présentés comme « démocratiques »,« populaires » et « socialistes ». Ainsi, selon les contextes, le mot « communisme » désigne aussi bien une idéologie qu'un engagement au sein d'un parti politique, un mouvement révolutionnaire, un régime politique, ou une organisation sociale. Mais encore....
    Entre 1989 et 1991 et 2008 pour Vierzon, les régimes communistes européens, politiquement et économiquement sclérosés, s'effondrent. Par la suite, bien qu'en net déclin3, le communisme ne disparaît cependant pas totalement en tant que mouvance politique : si des partis anciennement communistes ont adopté d'autres identités, d'autres ont conservé leur nom et sont associés au pouvoir dans certains pays. À Cuba, au Vietnam, au Laos, au Cambodge, en Corée du Nord des États communistes existent encore comme à Vierzon, sans que leur mode de gouvernement se conforme à un modèle unique. La République populaire de Chine, pays le plus peuplé de la planète, est toujours dirigée par un Parti communiste ; convertie à l'économie de marché, elle constitue aujourd'hui l'une des principales puissances au monde.
    Alors il faudra qu'on m'explique les contrats précaires à la municipalité de vierzon

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