Il se passe toujours quelque chose au conseil de
Communauté de Communes de Vierzon-Sologne-Berry !
Pour une fois réunis en dehors de Vierzon le 2
octobre, à Graçay, avec plus de 10 absents excusés, j’ai eu droit de me faire
traiter de gauchiste en pleine assemblée par le président Jean-Claude
SANDRIER ! L’anecdote mérite que je vous la raconte.
Point 221 : Fixation du taux de taxe annuelle
sur les friches commerciales.
Le vice-président Jean-Marc ADAM nous explique que
“la taxe est essentiellement destinée à s’appliquer aux locaux commerciaux et
administratifs qui ne sont plus exploitées depuis au moins 5 ans par leurs
propriétaires” mais qu’“en revanche, la taxe n’est pas due lorsque l’absence
d’exploitation des biens est indépendante de la volonté du contribuable”. Je
demande –et obtiens- la parole, déplorant que ce délai de 5 ans est beaucoup
trop long et préjudiciable tant à la commune qu’aux commerces voisins,
demandant de préciser quels sont les cas dans lequel la taxe n’est due ?
Je n’obtiendrais pas de réponse claire, d’autant que j’avais demandé en plus si
le fait de demander un loyer important en tant que propriétaire en était un.
Heureusement, non.
Un seul commentaire, nullement méchant, du
président SANDRIER à mon encontre, lorsqu’il reprend la parole, est de me
traiter de “gauchiste”. Cocasse venant d’un communiste.
En dehors de l’anecdote, je n’ai rien contre le
droit de propriété, bien au contraire, mais je ne peux cautionner que l’on possède
un bien immobilier et qu’on le laisse dépérir : si on ne veut pas
l’occuper, on le loue ; si on ne veut pas s’en occuper, on le vend. Ou on
paie, au travers de taxes municipales ou communautaire, cet abus de droit.
Gauchiste… Vivement mars 2014.
Monsieur Mousset, à plusieurs reprises, vous concluez vos billets par ce cri de joie : "Vivement 2014 !". Mais est-ce parce que vous vous réjouissez, par avance, de la teneur des débats à venir ou bien parce que vous vous délectez là encore par avance, du résultat électoral que vous espérez et considérez comme probable ?
RépondreSupprimerMonsieur Ventolont, je conclue depuis quelques temps certains de mes articles par ce slogan "Vivement mars 2014" pour les deux motifs que vous souhaitez, bien que je sois sceptique pour le premier ("la teneur des débats") et plein d'espoir pour le second (le résultat électoral).
RépondreSupprimerAu plaisir de vous rencontrer, vous qui avouez votre identité, cordialement.