Je l’avoue : j’ai voté par
deux fois pour Nicolas SARKOZY. Aux deux seconds tours des dernières
présidentielles, en 2007 et en 2012, mon vote allant aux premiers tours à
François BAYROU. A l’époque et même encore aujourd’hui, je pense qu’il était le
plus apte à gouverner notre pays que Ségolène ROYAL en 2007, puis l’ex-époux de
cette dernière, François HOLLANDE, en 2012. Mais cette année, Nicolas SARKOZY a été à l’encontre de l’une
des trois valeurs fondamentales de mes engagements politiques : il est
devenu “climato-sceptique”, ce qui augure du peu de cas qu’il fait de
l’écologie, valeur non politique puisqu’elle transcende les partis. C’est, pour moi,
inacceptable.
Quand on se prépare à diriger un
pays mais aussi une région, un département ou une commune, voire tout
simplement un groupement humain, il me parait nécessaire de privilégier trois
domaines : l’EMPLOI,
plus généralement l’économie, l’ÉDUCATION, des jeunes comme des adultes, voire
des retraités, et l’ÉCOLOGIE. Dire
que l’action de l’Homme ne joue pas sur notre planète n’est pas une erreur,
C’EST UNE FAUTE ! L’écologie prépare notre avenir en préservant notre
vie et celle de nos enfants. L’Histoire nous démontre que nous n’avons eu de
cesse d’appauvrir notre Terre. En avoir conscience est déjà un premier pas
(tous ne l’ont pas fait), agir en conséquence en est un autre (nous sommes
encore moins nombreux à l’avoir fait, même partiellement). À ce titre, le
Ministère de l’Écologie ne devrait pas exister puisque chaque ministère devrait
s’appliquer une charte d’actions à mener dans le sens de l’écologie. Hors, si
Nicolas SARKOZY revient au pouvoir, il a été clair sur le sujet :
l’écologie sera, au mieux, un gadget, au pire il ira contre. Cela nous promet des
jours sombres...
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