BLOG D'UN VIERZONNAIS





vendredi 30 août 2013

NICOLAS SANSU AIME-T-IL LES CHATS (ET PLUS GENERALEMENT LES ANIMAUX) ? LA REPONSE EST TOUJOURS NON

Nouvelle attaque de Nicolas SANSU et de ses services sur les chats, plus particulièrement l’association vierzonnaise qui les protège : les MOUSTACHES DU BERRY.

Pour reprendre les faits, il y a deux jours, une personne mal intentionnée vole une chatte appelée Ombeline. S’apercevant, un peu tard, que cette chatte est âgée (18 ans !) et qu’elle nécessite des soins propres à son âge, elle l’abandonne dans le centre ville de Vierzon. L’association, une fois avoir constaté son absence, la cherche, l’appelant dans la ville et questionnant les habitants. Ombeline a été vue, même nourrie, mais erre toujours dans la ville. Désireux de se faire aider par tous les amis des animaux, les MOUSTACHES DU BERRY placardent quelques affiches sur des poteaux du centre ville.

S’apercevant de ce crime, Nicolas SANSU, outragé, mandate la police municipale pour rappeler à l’ordre les MOUSTACHES DU BERRY : il y a dégradation de l’espace public. L’association attend le G.I.G.N. et une opération militaire.
Si je comprends l’argument de l’édile, je m’étonne de la différence de traitement donnée aux différentes associations, partis politiques et syndicats. A ma connaissance, l’EGLANTINE, organisant une manifestation et utilisant les mêmes procédés que les MOUSTACHES DU BERRY, n’a pas été rappelée à l’ordre. Et nos syndicats, peu avares d’autocollants, tout comme le P.C.F., encore moins. Et la menace d’amende ne leur a jamais été opposée.
Alors, Nicolas SANSU aime-t-il les chats et, plus généralement, les animaux ? La réponse est toujours non…

mardi 27 août 2013

ESTIVALES 2013 II : LE RETOUR

Je devrais me reconvertir comme devin… Le 4 août dernier, je prédisais le “succès” des Estivales 2013, estimant, sur la base des décisions municipales annuelles, une progression de plus de 30% des spectateurs. Nicolas SANSU ou Frédéric COUTURIER ont-ils lu mon précédent article ? Ou ont-ils pêché par humilité ? Toujours est-il que le second en reconnaît 20 000. Ce qui demeure un bon chiffre. Et qu’il cautionne par des comptages fait par des employés municipaux.

Pour ma part, je n’ai assisté qu’à deux concerts cet été : Sergent Garcia, le 12 juillet, et Véronique Rivière, le 18 août. Et encore... Outre le fait que je n’y ai pas rencontré d’autre élu, je n’y ai, par contre, vu aucun “compteur”. Ce qui ne veut pas dire qu’il(s) n’y étai(en)t pas. Cependant, comme je n’ai assisté qu’à un quart d’heure de concert du premier et 20 mn de la seconde, déçu qu’elle ne reprenne pas ses tubes, comment ai-je été compté ? Et si je n’avais fait que traverser le jardin, aurais-je été compté comme “spectateur” ? Avec tout le respect que je leur dois, un recensement, une étude d’impact, est une opération sérieuse. Pas ce que M. COUTURIER défende dans la presse. Alors, il y a-t-il eu 20 000 spectateurs ? Nul ne le sait et nul ne le saura jamais.

Sur le succès des Estivales, qu’il soit réel ou non, il n’empêche qu’il convient de le relativiser par son coût. Si l’on veut encore plus de spectateurs, rien n’est plus facile : on casse la tirelire municipale (ou on emprunte… ce que je réprouve), on invite Bruce SPRINSTEEN, U2 ou Pascal OBISPO. Et on aura du monde, surtout si c’est gratuit. Maintenant, est-ce souhaitable ? Je ne le pense pas…



 

dimanche 25 août 2013

INSECURITE RESSENTIE

Depuis quelques années, en regardant les prévisions météorologiques à la télévision, nous pouvons tous apprendre, après la température sous abri du lendemain, la température “ressentie”. Je ne sais pas pour vous, mais je pense que nous ne ressentons pas le temps de manière uniforme. A 15° sous abri, je suis en chemisette pendant ma femme enfile un gilet.
Pour la sécurité vierzonnaise, il semble en être de même : il y a des incivilités, des cambriolages, des agressions mais tout semble être “ressenti”, selon Nicolas SANSU. En clair, pour lui, ce n’est pas la réalité. Il s’ensuit peu après une litanie de chiffres allant dans son sens. Que la presse modulera par la suite. Voire infirmera.
Lutter contre les incivilités, les cambriolages et les agressions n’est pas une chose facile. Mais je ne pense pas que le laxisme ambiant y aide. Je pense qu’une plus forte présence policière, même municipale, a le mérite de rassurer les honnêtes gens et de dissuader les voyous. A cela j’ajouterai la mise en place de caméras de surveillance dans divers endroits publics (Forum, parkings de la Société Française, de la mairie, du Marché au Blé, rues piétonnes, jardins de l’Abbaye, …). La sécurité est un droit que je ne veux pas prendre à la légère. Et ignorer l’insécurité ne la fait pas disparaître.

vendredi 23 août 2013

ISLAM VIERZONNAIS

Chrétien et croyant, l’existence d’autres religions ne m’a jamais gêné. J’ai prié évidemment dans des églises mais il m’est également arrivé de le faire dans une cathédrale orthodoxe, en Russie, et dans un temple bouddhiste, en Thaïlande. Cela ne m’a jamais posé de problème et je ne crois pas que cela en ait posé aux autres croyants, probablement parce que j’étais humble et discret dans ma pratique. Dans le même temps, fervent laïque, je vis ma religion intimement, sans prosélytisme, sans esprit d’interdiction ou d’évangélisation. J’en attends de même d’autrui. Et je ne reconnais à personne le droit de me dire si c’est bien ou mal, sans pour autant refuser la discussion, l’échange intelligent.

Aussi, quand le diocèse de Bourges a décidé de vendre l’ancienne église St-Eloi, peu utilisée et sans cachet historique, je n’ai pas été choqué que cela puisse intéresser la communauté musulmane. Par contre, la solution de Nicolas SANSU est plus sujette à caution : refusant probablement que les musulmans ou qu’une obscure association de chrétiens intégristes en prenne possession, il a choisit de la préempter, prétextant que le quartier manquait de salles de réunion. Déjà que celles existantes peinent à être occupée… Aujourd’hui, la ville possède un bâtiment inutile, qu’il faut cependant entretenir et que l’on ne peut pas vendre avant longtemps sous peine d’être traduit en justice pour abus de droit ! Merci du cadeau… A part ça, Nicolas SANSU veut faire des économies, gaspillant déjà 170 000 €uros hors frais.

Maintenant, quid de la pratique de l’islam à Vierzon ? A ma connaissance, il existe deux lieux de culte : un détenu par la communauté turque, route de Neuvy, l’autre au Clos du Roy, par … les autres. Et une demande de ces dernières d’un local plus approprié, qu’elles sont prêtes à acheter. Mais pas à n’importe quel prix. Au Clos du Roy, la ville possède des locaux inoccupés depuis plus de 10 ans : ceux de l’ancienne superette. La Ville l’aurait estimé à… 170 000 €, comme par hasard. Et c’est étrange qu’on reparle à l’approche des élections municipales…

Pour ma part, si j’étais maire, choisissant de céder le patrimoine non utilisé et inutile à la vie municipale, je ferai estimer ce bâtiment par France Domaine, le service d’Etat chargé, entre autres, des estimations, j’y ajouterai les avis d’agents immobiliers et notaires locaux, et je le proposerai à la vente. Après, que des musulmans l’achètent pour en faire un lieu de culte, ce qui me paraitrait logique, ou autrui pour en faire un local commercial, peu me chaut. Mais que ce local soit occupé. Et que tout le monde y trouve son compte.

mardi 20 août 2013

NICOLAS SANSU AIME-T-IL LES CHATS (ET AUTRES ANIMAUX) ?

Les Moustaches du Berry, sympathique association de protection féline s’employant à recueillir chats et chatons du vierzonnais (et de plus loin quelquefois), pour les soigner, les nourrir, les stériliser, les marquer (puces électroniques) et les placer, dans la mesure du possible, essuie, depuis longtemps, l’hostilité froide à l’égard des chats des élus de la majorité, à commencer par le premier d’entre eux.

Ainsi, pour reprendre les faits, après de nombreuses demandes, le maire accepte de donner une subvention de 1 000 €uros, ramenée à 500 € l’année suivante (en 2013), accordant un des nombreux bâtiments appartenant à la ville vide (pas mis en vente celui-ci), située au bout de la route de St-Lazare, sans bail dans un premier temps. Plus dans un souci de répondre à une obligation municipale de salubrité publique que par amour de la cause animale (je me souviendrai longtemps de la déclaration d’un de ses adjoints, faite devant moi et la trésorière de l’association, nous précisant qu’une municipalité n’est pas obligée de recueillir les animaux errants, qu’elle peut choisir de les euthanasier…). Puis, en juin de cette année, apprenant par la presse que l’association achetait des locaux en ville, suite à un legs et un emprunt, le maire, par la personne de son Directeur Général des Services (DGS), fait pression sur l’association pour qu’elle quitte les locaux municipaux, prétextant une “invasion de puces”. Alors que les locaux étaient vides de présence féline, les chats ayant été transférés dans le nouveau local. Mon intervention leur permettra d’avoir un délai de 15 jours, malgré le bail (toujours pas dénoncé par écrit par les deux parties) précisant un délai de congé d’un mois.

A peine de retour de congés, la présidente de l’association est convoquée par le DGS et un maire adjoint pour évoquer le “problème” (mais quel est le problème du maire avec les chats ?). La réunion se soldera par… rien. Tout va bien dans le meilleur des mondes. Sauf que… Sauf que dans le même temps, la Mairie commandite un audit des Services Vétérinaires, service d’état rattaché au Ministère de l’Agriculture, chargé, entre autres du “bien-être” des animaux, sans même en faire part à la présidente de l’association, ne serait-ce par politesse, par respect.

L’audit a lieu le 19 août, à 9h30, le technicien des Services Vétérinaires venant après être passé à la Mairie au préalable pour “se faire accompagner de policiers municipaux, à la demande des services municipaux”. Le technicien et un employé municipal, tout autant sympathique l’un que l’autre et aimant les animaux, s’étonnaient de cette procédure peu commune. Peut-être que les bénévoles des Moustaches du Berry (essentiellement des femmes) sont de dangereux terroristes… Peut-être que les chats, il est vrai de la famille des lions et tigres, sont de dangereux “mangeurs d’hommes”… Le technicien et l’employé communal visiteront l’ensemble de l’installation et constateront que les locaux sont propres, que les suivis médicaux des pensionnaires sont faits et que les chats et chatons sont heureux… Alors, à quoi rime cette action détestable ? A rien…

Alors Nicolas SANSU, l’absent éternellement présent derrière son DGS, aime-t-il les chats ? Et plus généralement les animaux ? A mon avis, non…

samedi 17 août 2013

VENTE DES BIJOUX DE FAMILLE

L’avantage de la toile (internet) est que rien ne peut demeurer secret très longtemps… Ainsi, notre maire (pour moins de 9 mois encore) Nicolas SANSU vend les bijoux de famille. En fait ceux de la Ville, pas les siens. Et en occurrence le patrimoine municipal.
En soi-même, j’accueille plutôt favorablement cette initiative si la Ville vend des locaux qui ne lui servent plus et pour lesquels elle n’a pas de projet immédiat, si et seulement si cela se fait dans le cadre de la loi (pas d’accord en dessous de table, donc pas de vente de gré à gré, sans proposer le bien au public) et selon le prix de France Domaine, le service d’Etat affecté à l’estimation, entre autres, des biens patrimoniaux publics. Cependant…
Cependant, je pense que la vente de l’ancienne mairie de Vierzon Bourgneuf est critiquable dans la forme et dans le fond.
Dans la forme, tout d’abord. Par respect des occupants, il aurait été souhaitable de les informer du projet de vente, voire de leur proposer l’achat, à tout le moins de leur proposer une solution de repli. Il est toujours détestable d’apprendre ce qui nous concerne par autrui. Puis, par respect pour son Conseil Municipal, en particulier de son opposition, il aurait été souhaitable que le maire informe le conseil municipal de son projet. Par respect…
Dans le fond ensuite. Quelle est la logique de vendre un bâtiment communal alors que la Ville en loue au moins deux pour abriter son service des sports et son opposition ? Elle ne peut être qu’économique que sur une courte période. Ce qui n’est pas. Mais alors, qu’elle est la volonté du maire en préférant la dépense à l’investissement ? Faire plaisir à un ami, propriétaire d’un des biens loués ?
Bonne réflexion…

vendredi 16 août 2013

PENIBILITE AU TRAVAIL

L’automne 2013 verra ressurgir un vieux serpent de mer : la prise en compte de la pénibilité au travail par les pouvoirs publics. Notamment pour la retraite.

L’objectif est louable : si nous avons tous droit à la retraite en fonction de notre durée de cotisation (pour l’heure, à taux plein, l’âge légal est de 65 ans pour 40 ans de cotisation) et du montant de nos cotisations, nous ne pouvons pas tous espérer une vie de retraité longue et en pleine forme. Si plusieurs facteurs génétiques et sociaux (usages de vie, loisirs, pratiques sportives, …) influent sur notre durée de vie, l’un des principaux est le travail. Et le Gouvernement veut en tenir compte. Objectif louable. Mais risqué.

Pourquoi risqué ? Parce que la “pénibilité au travail” est un concept complexe et subjectif. Pour certains, travailler de nuit est pénible. Pour d’autres, effectuer des gestes répétitifs est pénible. Pour d’autres encore, encadrer des enfants est pénible. Je pourrai multiplier les exemples. En fait, tous les métiers, quels qu’ils soient, comprennent une part de pénibilité. Surtout si celui qui l’exerce ne l’a pas choisi préalablement, délibérément. Rien n’est plus pénible qu’un emploi que l’on subit. Seulement, en quoi l’Etat, la Communauté que nous formons, est-il responsable ? Il n’importe. Mais comment faire alors ?

dimanche 11 août 2013

LES PROMESSES DU MAIRE : LES GENS DU VOYAGE


Les promesses du Maire, Nicolas SANSU, n’engagent que ceux qui y croient.

Le 4 juillet dernier, interpellé par des habitants pendant le conseil de quartier du Centre Ville – Bois d’Yèvre, Nicolas SANSU, semblant souhaiter abréger cet exercice de démocratie directe auprès d’un public acquis puisque choisi par lui-même parmi ses électeurs, déclare que les “gens du voyage”, installés entre la zone industrielle du Vieux Domaine et le Bois d’Yèvre, qui perturbent le quartier (coups de feu, disparition des canards et des cygnes, vols dans la déchèterie, …), vont partir sous peu. Qu’en outre, il ne saurait être responsable de l’absence d’aire d’accueil pour “gens du voyage”, son prédécesseur n’en ayant pas construit. Oubliant, au passage, qu’il est élu depuis 2008 (5 ans !) et qu’il n’a rien fait ! Quelques jours plus tard, un article de presse complaisant annonce le départ des “gens du voyage” sous l’impulsion du maire. Sauf que… Sauf qu’en août, force est de constater que les “gens du voyage” sont toujours là (ou alors ils sont partis et revenus dans la semaine suivant l’article…). Et qu’ils sont encore plus nombreux…

A part ça, Nicolas SANSU fait des promesses…

mercredi 7 août 2013

PRISON ?

A chaque vol, à chaque agression, à chaque assassinat, j’entends la même indignation populaire. Mais je ne sais pas si ce sont ces faits qui me révoltent le plus ou les réactions de nos élus politiques, voire de notre justice, reconnaissant cependant que, dans un état de droit, la seconde dépend des décisions des premiers.

Pour la plupart de nos élus, les réponses relèvent le plus souvent de trois attitudes. Celle de l’Ancien Régime, du type “Je ne peux rien, seul l’Etat peut tout”, un peu comme dans les siècles passés quand les prêtres sortaient une relique quelconque d’une église ou commanditaient un pèlerinage afin de faire cesser un fléau. Celle de Ponce Pilate, du type “Laissons faire la police et la justice”, préférant se laver les mains que d’endosser toute responsabilité dans l’action de correction et de réparation, surtout si elle échoue. Et celle du mauvais rugbyman, préférant la touche à la course dans l’embut, même si celui-ci est dégagé, du type “Je vais faire voter une loi” ou “Il faut voter une loi”.

Aux premiers je rappelle qu’ils ont été élus pour prendre des décisions, même les plus difficiles, les plus risquées, aux seconds qu’ils sont la police et la justice, et aux derniers que la loi qu’ils attendent existe probablement déjà mais qu’il faudrait maintenant l’appliquer. Je pourrais étayer mes propos de multiples exemples et développer chacun d’entre eux mais ce n’est pas le propos de mon article.


Mon propos porte sur la prison. A quoi sert une prison ?

Le fait d’emprisonner quelqu’un est une sanction à son égard. Par cette décision judiciaire, il s’agit de le punir d’une action condamnable qu’il a commise. Bien entendu, sur cette sanction, chacun d’entre nous peut estimer qu’elle est suffisante ou insuffisante. Nos lois, déjà bien trop nombreuses et, à ce titre, pas toutes appliquées, et leurs jurisprudences, qui tendent parfois à être force de loi alors qu’elles ne devraient qu’être que des conseils, doivent faire en sorte que la décision de justice soit acceptable par tous, à commencer par la victime et l’accusé. Hors, souvent, c’est là que le bât blesse : toutes les parties n’acceptent pas la décision, particulièrement le peuple (ou le grand public) et, souvent, la victime ou ses représentants. Malheureusement, je n’ai pas l’impression que nos élus mesurent ce fossé qui se creuse entre nous, son peuple, ses électeurs, et notre justice. La réparation n’y est pas.

Mais une autre dimension me parait oubliée dans la décision d’emprisonner quelqu’un : l’éloignement. Sanctionner est une chose, l’empêcher de nuire de nouveau en est une autre. Quand un homme a purgé sa peine, il a peut-être réparé mais n’est-il pas encore dangereux pour ses victimes, pour le peuple ? Je lis souvent des décisions de justice dans la presse. Je connais également la notion de réduction de peine. Mais je n’ai jamais entendu dire qu’une peine avait été rallongée par ce que le condamné était toujours dangereux. Un nouveau procès serait sans doute nécessaire. Mais pourquoi pas s’il peut empêcher les conséquences d’une récidive ?

dimanche 4 août 2013

ESTIVALES DU CANAL 2013

Les Estivales du canal 2013 battent leur plein. Par avance, je prédis les déclarations de notre maire et de son adjoint à la culture sur le succès de ces dernières. Au prochain conseil municipal, je suppose qu’ils nous annonceront une progression de plus de 30% du nombre de spectateurs, annonçant le chiffre de 21 000 spectateurs. Un chiffre vrai ? Faux ? En fait, un chiffre invérifiable, tant par le maire que par son opposition. Et pourtant, ce serait si simple de le faire. En posant quelques personnes aux entrées du lieu de manifestation (je vous rappelle au passage que le jardin de l’Abbaye est une île) comptant les entrées, leur demandant où elles habitent et les remerciant de leur venue (la politesse et un sourire ne pourront être que les bienvenus) et les sorties avant la fin du spectacle, toujours avec le remerciement et le sourire.

Les gains d’une telle opération seraient une meilleure orientation culturelle de la prochaine saison. Une action simple, gage d’une politique raisonnée.