Bon, d’accord, je ne dois pas
être le seul à le penser (encore qu’à Vierzon...) mais nos villes et nos campagnes sont trop éclairées la nuit, la plupart
du temps pour rien, uniquement pour rassurer l’habitant et probablement pour
favoriser les conditions de travail des cambrioleurs et autres délinquants
(pour nous agresser, il faut bien qu’ils nous voient).
Samedi 10 octobre dernier se
tenait la 7ème opération “Le
jour de la nuit” destinée à redonner, symboliquement au moins, dans un premier
temps, l’essence essentielle de la nuit : sa noirceur. Qu’en pleine nuit,
la faune, nous compris, et la flore ne soient plus perturbées par les lumières
artificielles qui, outre leur coût économique (et j’en connais qui se plaignent
de la baisse des dotations de l’Etat en laissant la lumière allumée partout,
jusqu’en dans la moindre impasse, toute la nuit...), ont un coût écologique. Il
serait temps que cela cesse ! Selon la presse nationale, près de
6 000 communes en France ont réduit, via des capteurs de présence, ou
éteint complètement leur éclairage public entre minuit et cinq d’heures du
matin. Ça, c’est de la politique
écologique ET économique simple et facile à mettre en oeuvre ! Mais à
Vierzon, comme dans de nombreuses villes et villages en France, on atermoie
pour de basses raisons électoralistes. Stop ! Ça chauffe...