A force de me marcher sur les
pieds, on finit par récolter ce que l’on sème !
Vierzonitude, alias le
journaliste du Berry Républicain Rémy BEURION, très prolixe de sa plume, avec
ou sans faute d’orthographe ou de grammaire, après s’être lâché contre moi et
le maire de Vierzon Nicolas SANSU pendant la dernière campagne municipale, sur
le fond ou sur la forme, caressant sa candidate dans le sens du poil, après
avoir érigé son blog comme quoi “la critique est un devoir”, sous le couvert
d’un “humour” qui n’appartient qu’à lui et qu’il confond avec “méchanceté”,
continue son travail de sape ! C’est son droit. Mais, ne lui en déplaise,
je laisse tomber à son encontre mon attitude politiquement correcte. C’est
pourquoi je le cite nominativement ce jour, qu’il utilise ou non son nom,
Vierzonitude ou ses pseudonymes comme Bezant ou d’autres.
Bien entendu, il dira que je
réagis sans humour, avec la colère, avec ce qui lui plait. Sa réponse sera
conforme à son attitude à mon encontre : critiquons, moquons, détruisons,
… Il y a peu, sous couvert d’un nouvel avatar, il me faisait l’allié de Nicolas
SANSU. C’est bien mal me connaître. Si je suis critique vis-à-vis du maire,
moi, je lui reconnais quand même quelques bonnes initiatives. Comme le guichet
unique. Comme la zone d’activité de la rocade nord de Vierzon, qu’elle soit de
son fait ou de celle de son ancien mentor Jean-Claude SANDRIER.
Par contre, je me suis toujours employé à proposer au moins une solution à chaque
problème que je soulève. Le dernier en date était le départ de nos diplômés
ou futurs diplômés vierzonnais avec des cours par visioconférence. Si Rémy
BEURION, pardon : “Vierzonitude”, avait agit en vrai critique, il aurait
discuté de mon projet sur le comment. Non : il préfère critiquer parce que
“c’est un devoir”. Ce n’est pas ma manière de faire.
Avant, je faisais comme lui, je
faisais ce que d’aucun appelle “refaire le monde”, ce que moi j’appelle de la
“révolution de comptoir”. Un jour, sous l’influence d’une école comme la Jeune
Chambre Economique, de lectures diverses et d’échanges, j’ai choisi de passer du rang de spectateur à celui d’acteur, passant
peu de temps à celui de critique. C’est, sur cette idée, que je suis devenu
chef d’entreprise. C’est, sur cette idée, que je suis devenu candidat, d’abord
aux cantonales, ensuite aux municipales.
Et j’ai bien l’intention de continuer, loin des compromis et autres
mélanges où je perdrai mon âme et où se perdront mes idées, ne lui en déplaise.
Comme à ses amis et ceux qu’il croit en être ou qu’ils croient en être (dans
les deux sens, volontairement).
Un proverbe arabe s’applique bien
à son attitude : “Les chiens aboient, la caravane passe”. Qu’il continue à
aboyer.
Au passage et pour conclure, si
l’idée lui en vient (enfin une !) de porter plainte contre moi, il sait où
le faire.